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Politique

RDC: John Kolela, un cadre du parti au pouvoir remet en cause la gestion de l’ancien Premier Ministre Augustin Matata Ponyo.

Pour John KOLELA, l'ancien premier ministre sous l'ère Joseph Kabila est en train de politiser la science. Selon ce cadre de l' UDPS le parti au pouvoir. Augustin Matata Ponyo n'est pas l'exemple d'un bon gestionnaire. Ci-dessous sa réaction qu'il a envoyée à votre rédaction. Après avoir suivi les balivernes sur TÉLÉ 50, Je me permets de remettre en CAUSE les facultés intellectuelles de l'ex premier ministre MATATA qui souligne que l'augmentation du budget n'est pas un indicateur de la performance économique. Alors que la date du procès BUKANGALONZO s'approche, l'ex premier ministre multiplie comme souvent dans sa stratégie des sorties médiatiques pour essayer de s'attirer la sympathie de la population. Au lieu de se défendre avec les, réalisations du gouvernement étant premier ministre pour démontrer la croissance économique à travers la politique budgétaire, démontrer de combien il aurait augmenté production agricole et industrielle, énumérer combien d'écoles il aurait construit dans le cadre du projet 1000 écoles l'an et autres infrastructures construites, Au lieu de nous dire de combien a t il amélioré l'accès aux soins médicaux et à l'éducation, comment il aurait augmenté le salaire du fonctionnaire, du soldat, du policier, du magistrat et du médecin... sujets de la politique structurelle qui relèvent des attributions d'un gouvernement, par manque évidente des réponses aux questions qui lui concernent, ce monsieur de BUKANGALONZO s'accroche aux DADA de la Banque Centrale du Congo pour maquiller son bilan catastrophique La stabilité macro-économique repose sur deux indicateurs à savoir : 1. La stabilité interne de la monnaie cad la stabilité du prix ou la maîtrise du taux d'inflation qui est passé de 17% en 2012 à 23% en 2016 avantson départ 2. La stabilité externe de la monnaie cad la stabilité du taux de change qui est passé de 914fc en 2012 à 1216fc en 2016 pour 1$ avant son départ à la tête du gouvernement. Ces deux indicateurs sont pris en charge par la Banque Centrale du Congo BCC, c'est le DADA de la BCC et non du ministre de finance. En réalité MATATA se fourvoie quand il soutient que la stabilité macro-économique est le travail du ministre de finances Il est victime de son ignorance de la règle de MUNDELL et de celle dite TIRGEN. La différence entre le gouvernement et la Banque Centrale se situe au niveau de la politique. Le gouvernement s'occupe de la politique budgétaire pour entretenir la croissance et la Banque Centrale s'occupe de la politique monétaire pour stabiliser le taux de change et le taux d'inflation. Si MATATA s'accroche à la politique monétaire pour justifier son bilan, quel serait le bilan du gouverneur de la Banque centrale. Le ministre de finances joue ne joue que le rôle indirect dans la stabilité macro-économique quand il s'agit de la policy mix cad la coordination de la politique budgétaire et monétaire. Contrairement à Adolphe MUZITO qui avait hérité d'une économie sous assistance respiratoire avec une crise économique mondiale de 2008 la deuxième de l'histoire depuis 1929, une dette audieuse de 14 milliards de $ comme principale et 500 millions $ d'intérêt annuel, un budget de 800 millions de $, ce dernier par son génie créateur, son savoir faire et ses mesures drastiques et draconniennes avait réussi avec l'accompagnement de la Banque Mondial et le FMI à effacer la dette à hauteur de 9 milliards de $, à réduire les intérêts à 200 millions $. Dans une économie polluée, les indicateurs macro-économiques sous MUZITO s'améliorant considérablement d'année en année. Le budget était passé de 800 millions $ à 3,8 milliards $ dans 3 ans; Le taux de change était stable à 914 fc pour 1$ depuis l'année 2010; Le taux d'inflation était passé de 23% à 17% ; Le taux de croissance du PIB réel était passé de 6,2% à 2,8 % au moment de la grande crise pour rebondir à 6,9 % ( grande résiliation économique) ; Le PIB par habitant était passé de 335$ à 446$ ; La mobilisation des ressources publiques intérieures était passé de 1,885 milliards de $ à 3,8 milliards de $ Le volume des dépenses d'investissement direct étranger était passé de 1,175 m
L'ancien Député national John Kolela et l'ancien Premier Ministre Augustin Matata Ponyo

Pour John KOLELA, l’ancien premier ministre sous l’ère Joseph Kabila est en train de politiser la science. Selon ce cadre de l’ UDPS le parti au pouvoir. Augustin Matata Ponyo n’est pas l’exemple d’un bon gestionnaire.
Ci-dessous sa réaction qu’il a envoyée à votre rédaction.

Après avoir suivi les balivernes sur TÉLÉ 50, Je me  permets de remettre en CAUSE les facultés intellectuelles de l’ex premier ministre MATATA qui souligne que l’augmentation du budget n’est pas un indicateur de la performance économique.

Alors que la date du procès BUKANGALONZO  s’approche, l’ex premier ministre multiplie comme souvent dans sa stratégie des sorties médiatiques pour essayer de s’attirer la sympathie de la population.
Au lieu de se défendre avec les, réalisations du gouvernement étant premier ministre pour démontrer la croissance économique à travers la politique budgétaire, démontrer de combien il aurait augmenté production agricole et  industrielle, énumérer combien d’écoles il aurait construit dans le cadre du projet 1000 écoles l’an et autres infrastructures construites,
Au lieu  de nous dire de combien a t il amélioré l’accès aux soins médicaux et à l’éducation, comment il aurait augmenté le salaire du fonctionnaire, du soldat, du policier, du magistrat et du médecin… sujets de la politique structurelle qui relèvent des attributions d’un gouvernement, par manque évidente  des réponses aux questions qui lui concernent, ce monsieur de BUKANGALONZO  s’accroche  aux DADA de la Banque Centrale du Congo pour maquiller son bilan catastrophique

La stabilité macro-économique repose sur deux indicateurs à savoir :

1. La stabilité interne de la monnaie cad la stabilité du prix ou la maîtrise du taux d’inflation qui est passé de 17% en 2012 à 23% en  2016 avantson départ

2. La stabilité externe de la monnaie cad la stabilité du taux de change qui est passé de 914fc en 2012  à 1216fc en 2016 pour 1$ avant son départ à la tête du gouvernement.

Ces deux indicateurs sont pris en charge par la Banque Centrale du Congo BCC, c’est le DADA de la BCC et non du ministre de finance.
En réalité MATATA se fourvoie quand il soutient que la stabilité macro-économique est le travail du ministre de finances
Il est victime de son ignorance de la règle de MUNDELL et de celle dite TIRGEN.

La différence entre le gouvernement et la Banque Centrale se situe au niveau de la politique. Le gouvernement s’occupe de la politique budgétaire pour entretenir la croissance et la Banque Centrale s’occupe de la politique monétaire pour stabiliser le taux de change et le taux d’inflation.
Si MATATA s’accroche à la politique monétaire pour justifier son bilan, quel serait le bilan du gouverneur de la Banque centrale.
Le ministre de finances joue ne joue que le rôle indirect dans la stabilité macro-économique quand il s’agit de la policy mix cad la coordination de la politique budgétaire et monétaire.

Contrairement à Adolphe MUZITO qui avait hérité d’une économie sous assistance respiratoire avec une crise économique mondiale de 2008 la deuxième de l’histoire depuis 1929, une dette audieuse de 14 milliards de $ comme principale et 500 millions $ d’intérêt annuel, un budget de 800 millions de $, ce dernier par son génie créateur, son savoir faire et ses mesures drastiques et draconniennes avait réussi avec l’accompagnement de la Banque Mondial et le FMI à effacer la dette à hauteur de 9 milliards de $, à réduire les intérêts à 200 millions $.
Dans une économie polluée, les indicateurs macro-économiques sous MUZITO s’améliorant considérablement d’année en année.

Le budget était passé de 800 millions $ à 3,8 milliards $ dans 3 ans;
Le taux de change était stable à 914 fc pour 1$ depuis l’année 2010;
Le taux d’inflation était passé de 23% à 17% ;
Le taux de croissance du PIB réel était passé de 6,2% à 2,8 % au moment de la grande crise pour rebondir à 6,9 % ( grande résiliation économique) ;

Le PIB  par habitant était passé de 335$ à 446$ ;

La mobilisation des ressources publiques intérieures était passé de 1,885 milliards de $ à 3,8 milliards de $.

Le volume des dépenses d’investissement direct étranger était passé de 1,175 m

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