Dix-sept civils ont perdu la vie dans l’explosion d’une bombe survenue le jeudi 27 février lors du meeting du mouvement rebelle AFC/M23.
Le mardi 4 mars, une messe de requiem a été célébrée en mémoire des victimes. Pour rappel, après le rassemblement organisé par Corneille Nangaa et son groupe à la place de l’Indépendance, dans la ville de Bukavu, une explosion avait causé la mort de 10 personnes et 67 autres blessés. Quelques jours plus tard, certains blessés ont succombé, faute de soins de santé adéquats dans la région.
Le gouvernement congolais avait fermement condamné cet acte terroriste, imputé aux rebelles du M23. Kinshasa avait également annoncé que les auteurs de cette attaque seraient poursuivis par la justice nationale et internationale.
Lionel Kibuluku
